vendredi 2 mai 2014

Pourquoi rouler à vélo ?

10 bonnes raisons d’adopter le vélo

  • Le vélo, c’est rapide !
En Belgique, près de la moitié des déplacements concernent des trajets de moins de 5 km. Les embouteillages de plus en plus importants empêchent les déplacements rapides des automobilistes et des transports en commun. En milieu urbain, la vitesse moyenne d’un véhicule motorisé est inférieure à 20 km/h, le cycliste peut quant à lui tabler sur une vitesse moyenne de 15 km/h. En outre, le cycliste ne tourne pas de longues minutes pour trouver une place de stationnement. Pour les trajets de moins de 5 km, le vélo est imbattable !
  • Le vélo, c’est la liberté !
Que l’on soit jeune ou plus âgé, riche ou pauvre, le vélo permet à tous d’être autonome, de ne pas devoir dépendre d’un tiers pour se déplacer. Avec le vélo, chacun choisit où et quand il veut bouger. Rouler à vélo procure un sentiment inattendu de liberté que l’on ne découvre qu’en pratiquant.
  • Le vélo, c’est bon pour la santé !
Finies les longues séances en piscine ou en salle de musculation… Rouler à vélo permet de faire du sport pendant ses déplacements, et gratuitement ! À l’heure où les accidents cardio-vasculaires sont une des principales causes de mortalité, les personnes qui se déplacent à vélo augmentent leur espérance de vie. Il est de plus prouvé que les personnes qui se déplacent à vélo sont en moyenne moins souvent malades.
  • Le vélo, c’est bon marché !
À vélo, pas besoin de faire le plein, pas de taxes ou d’assurances, peu de frais d’entretien ou de réparation… Si l’on compte qu’un vélo a une durée de vie de dix ans, on peut estimer qu’un cycliste y consacre au maximum 200 € par an. Qui dit mieux ?
  • Le vélo, c’est bon pour l’économie !
Là où la voiture coûte beaucoup d’argent à la collectivité (embouteillages, infrastructures routières, parkings, environnement, santé), le vélo, lui, en rapporte ! Outre les emplois directement liés à l’industrie du cycle et les économies réalisées au niveau de la santé publique, les cyclistes dynamisent les commerces de proximité : alors que les automobilistes ont tendance à faire leurs courses dans des centres commerciaux à l’extérieur de la ville, les cyclistes effectuent leurs achats dans leur quartier, ils s’arrêtent plus facilement et plus souvent. Par ailleurs, les cyclistes sont aussi des employés moins souvent malades, moins stressés et donc plus productifs que leurs collègues automobilistes.
  • Le vélo, c’est bon pour l’environnement !
Pas de rejets de gaz à effet de serre ou toxiques, pas de bruit, pas d’infrastructures démesurées et destructrices du cadre de vie. Le vélo augmente la qualité de vie de tous !
  • Le vélo, complément idéal des transports en commun
L’exemple d’autres pays (Danemark, Suisse…) le prouve : de bonnes infrastructures cyclables augmentent le nombre d’usagers des transports en commun, car elles permettent de rejoindre une gare ou une station de métro plus rapidement et plus confortablement qu’en voiture ou en multipliant les correspondances entre transports publics.
  • À vélo, même pas peur de la météo !
Les cyclistes circulent au sec sur plus de 90% de leurs déplacements : non seulement il ne pleut pas autant que l’on croit en Belgique, mais en plus les cyclistes, plus libres de leurs mouvements et plus rapidement arrivés à leur destination, peuvent attendre la fin d’une averse avant de se mettre en route. Si l’on ajoute que les deux pays européens où il y a le plus de cyclistes sont les Pays-Bas ou le Danemark, on comprend facilement que la météo n’est pas un obstacle aux déplacements à vélo.
  • À vélo, même pas peur de la pollution !
Plusieurs études scientifiques le démontrent : un automobiliste, enfermé dans son habitacle est globalement soumis à des taux de polluants plus élevés qu’un cycliste qui privilégie les axes moins fréquentés.
  • À vélo, même pas peur des côtes !
Des villes comme Berne (Suisse) ou Trondheim (Norvège), qui connaissent un nombre importants de cyclistes malgré leur forte déclivité, prouvent que le relief n’est pas un obstacle insurmontable. Les cyclistes peuvent généralement adapter leur itinéraire pour éviter les côtes les plus importantes. Et pour ceux qui souhaitent un petit coup de pouce, le vélo à assistance électrique constitue une solution idéale.

Source : http://www.gracq.be/AVELO/001Accueil

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